Florent, artiste en transition à Leipzig
J’ai rencontré Florent devant le minishop, là où on boit un coup improvisé sur un bout de trottoir de la Merseburger Straße. Il m’a lu des trucs, entre mots isolés et poêmes construits qu’il écrivait comme ça sur son téléphone, sur le coup, et on a parlé de les enregistrer.
Une fois dans son atelier il m’a raconté son histoire entre pellicules et pinceaux, celle de deux vocations successives et intimement liées. Il dit qu’il peint juste “pour la peinture” mais il y a dans son travail et dans l’art comme un projet de libération du spectateur.